On raconte que les nomades mâchent les fruits de l’arabica depuis la nuit des temps. C’est à Kaldi, d'un jeune berger, que l’on doit paraît-il le secret de la torréfaction. Ayant constaté que ses chèvres gambadaient frénétiquement dans tous les sens, il apporta à des moines le buisson de caféier qu'elles avaient mangé afin de leur demander conseil. Ceux-ci jetèrent l’arbuste au feu sans avoir trouvé d’explication et furent séduits par les effluves des grains de café grillés.